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Le "Rock" est un genre musical apparu dans les années 1950 aux États-Unis et qui s'est développé en différents sous-genres à partir des années 1960. Depuis cette période « classique » du rock, de nombreux sous-genres hybrides ont peu à peu émergé.

 

Sans vouloir faire de raccourcis sur l’histoire du rock et ses ramifications…abordons directement la naissance de Patxaranga.

 

Née en 2016, ce G.A.M.I « groupe d’animation musicale itinérant » comme les puristes aiment à le décrire dans les nombreux ouvrages de référence (1), voit sa notoriété augmenter aussi vite que le volume du baffle de leur bassiste entre 2 représentations.

 

Tous membres de Patxondo (2), ils ont réussi à extraire l’ADN de leur association pour l’exporter sous forme musicale dans tous les lieux possibles (sur un rayon de 27,1 km pour le moment).

 

L’idée géniale de départ a émergé en 2016 : réunir différentes personnes dont le point commun était de n’avoir aucune formation musicale aboutie (fans d'Alliage vous êtes au bon endroit)

 

Fred réussit à convaincre Xabi et Cyril de venir échanger quelques notes de guitare un soir par semaine. Dotée d’une grande capacité d’adaptation, Fred modifia l’idée géniale de départ en « réunir différentes personnes dont le point commun était de n’avoir aucune formation musicale ». 

 

Malgré les difficultés, Cyril se découvrit une passion pour jouer en mode "miroir déformant » et Xabi réalisa un rêve d’enfant : devenir multi-instrumentiste-occasionnel soit jouer d’un instrument au hasard des rencontres et des objets qu’il a sous la main. (Mise à jour : à court d'objet vous le retrouverez au chant ou il excelle surtout quand il pleut et qu'il peut danser)

Fred réussit tant bien que mal à maintenir une certaine harmonie grâce à ces talents de guitariste / bassiste / chanteur / batteur / carillonneur / dulcimeriste / bassoniste / harmoniumiste et koraïste.

 

Au sein de leur association le bruit (3) se répandit vite de l’existence d’échanges musicaux : Eneko, bassiste de religion, adepte de la 4 cordes et des enceintes qui dépassent le mur du son, se décida à rejoindre ses camarades.

Pour ceux qui ne maitrisent pas les subtilités des différents instruments, nous vous renvoyons vers l’histoire de la basse : « Cet instrument fut conçu, tout comme la guitare électrique, pour pallier le manque de PUISSANCE des instruments acoustiques »… la messe était dite. Ses fans le surnomme « Eneko from Massachusetts » mais très peu de personnes savent qu’il possède un record sur l'utilisation du codeur incrémental (35° à 360° en 0,012 seconde enregistré chez Epaiska le 31/12/2018).

Eneko amena au groupe en devenir un élément clef de leur réussite : l’amour du travail bien fait (concept qu’il applique régulièrement lors des sessions de nettoyage en fin de soirée).

 

Très vite, deux autres personnages rejoignirent Patxaranga : Jean Moustache dit « La force tranquille ». Son jeu de guitare résiste à n’importe quel imprévu : branché, pas branché, jack, pas de jack, moustache, pas de moustache… Il reste impassible face aux aléas du jeu en extérieur. Second couteau en guitare, il est suivi de prés par Cyril (troisième couteau mais de la famille du coquillage).

 

De son coté, Parrain marqua le groupe lors de son passage au sein de la division : « instruments à vent ». Ses solos envoutants sur « Wild Rover » ont marqué la Patxaranga qui espère retrouver un jour ce praticien des aérophones.

 

Patxaranga ne serait rien sans ses 2 chanteurs : Gratos et Marina. Ils rattrapent et accompagnent le public au micro comme l’on cajole la marée (4). Autodidactes par principe, ils arrivent à bonifier le travail des musiciens pour envoûter le public tel Molpo et Thelxiépie (5). Ce sont les poumons de cette formation, ils ont toujours prêts à dégainer du "Po, Po, Po, Po !" ou du "La, La, La !" (heureusement en fonction de la chanson).

 

Une animation sans son M.C n'existerait pas : Mottel joue ce rôle à la perfection. Il distribue avec ferveur les menus au public. Il est chargée de guider et de prendre soin du groupe. Pour cela il utilise son fameux "Pssssssit, Psssssit !", cri du coeur qui permet d'alerter les artistes quand le ravitaillement fait défaut. On notera la présence d'Estebe, M.C occasionnel mais indispensable dans les moments compliqués des tournées. Organisateur de concerts alternatifs pour Patxondo (tâche difficile), il prend du plaisir à suivre enfin une formation complètement désorganisée sur tous les plans (musical, scénique, vestimentaire et autres). 

 

Patxaranga ne serait rien sans sa pièce maîtresse  : Teguy !

Surnommé le « Francis Clapton blanc » (le reste était déjà pris). Il électrise la foule (6). Son jeu unique à la guitare électrique est composé de cordes pincées et de cordes brossées simultanément ! Teguy a développé cette approche exceptionnelle grâce à un apprentissage rigoureux. Un sensei (maître qui donne son enseignement à un élève) lui a transmis ses techniques ancestrales : « Main droite, gratter. Main gauche, appuyer, bouger, appuyer…Respire par le nez et souffle par la bouche ».

Récemment le groupe a connu des modifications comme tout big bazar qui se respecte.

 

Gratos fait une pause afin de respecter les 10 gestes essentiels pour sauver la planète : privilégier les aliments locaux, rallonger l'espérance de vie de son matériel, faire des enfants, diminuer ses déchets… 

Le groupe a recruté à l'international (demande du public oblige) afin de fortifier sa partie guitare. Chapeau, bottes en cuir, chemise à fleur, barbe blonde hawaïenne et regard ténébreux....Même si il fait le désespoir des poux, Flo notre cow-boy de "Vendayyy" manie sa guitare comme un six coups.

Cowboy élevé par des indiens de la région du Bengale et ancêtres des rois bouddhistes Pala, il a appris le maniement des feu de bengale et de la pala (même nous on a rien compris mais ça faisait classe sur son C.V). Les bandidos de la musique n'ont qu'as bien se tenir s'ils ne veulent pas se retrouver dans la ligne de mire de son canon à confettis (sa dextérité est "for-me-dable")

 

Directement arrivé des States en train de nuit : Mitx, grâce à qui la formation Gipsy a pris son envol au sein de patxaranga. Avant lui il n'y avait que le "J" des gipsy, il a su apporter son jeu de guitare unique là où les autres avaient juste apporté leur housse de guitare. Cheveux jusqu'aux épaules, mélange de blond et de noir parfaitement réussi (attention si cette partie du texte vous inspire, petit conseil qui vous évitera bien des bêtises : le port d'un bonnet de douche vous évitera de laisser des taches autour de vous et il retiendra également la chaleur de votre corps, ce qui favorise la fixation du colorant)...

Mitx a cette classe qui va au delà du style chic et singulier imposé par la mode des groupes "branchés". Ne ratez pas son déhanché lors de la fameuse Skanille © ! 

Enfin originaire de Nassau, celui qui tente la fortune en remplaçant le gouvernail de sa galère par une table de mixage, appelant "Calico" ses câbles jack et imaginant des tortues dans toutes les formes autour de lui : Enriko.  Militant pour la défense des droits des curistes, il arbore son peignoir blanc comme une pancarte. Maitre des réglages sonores, grâce à lui le navire Patxaranga sillonne les soirées à la recherche de trésors musicaux enfouis.

Parfois moqué, parfois appelés Los Patxarangos... le milieu des Txaranga est impitoyable surtout quand vous jouez vos propres compositions et que vous écrivez vos textes avec vos tripes… Le Sage dit souvent "Tremper sa plume dans l'eau de ses viscères pour en faire un texte digeste" #safairefléchir

 

Le groupe reste donc soudé et il est en tournée régulièrement. Ils jouent à guichet fermés (uniquement lorsqu’il y aura des guichets comme ils se le sont promis).

Ils restent disponibles pour tout événement en lien avec leur devise :

 

 

Karaoke, Poteo eta Rock'n Roll !

 

 

(1) GAMI versus GAFA : Investissez malin et arrêtez de travailler à 13 ans.

(2) La pena Patxondo réunit 2 bandes de potes, de barnekalde et de kostalde, pour leur offrir un lieu de vie et de rencontres sur Baiona.

(3) Un jeu de mots est en général n’importe quel jeu de langue qui manipule les mots ou des sonorités, et en particulier celui qui consiste à créer deux mots ou deux phrases homophones (le plus souvent humoristique) ayant un sens différent.

(4) Terme de marine. Faire marcher un vaisseau contre le vent, en profitant d'un courant.

(5) la lecture de cet article nécessite  une connaissance approfondie de la mer et de son histoire. Si ce n'est pas le cas, merci de cliquer sur ce lien : http://www.zejackytouch.com afin de ne pas saturer le serveur de notre site.

(6) l’utilisation du verbe « électriser » sera expliqué un peu plus loin dans cette article, voir même à la phrase suivante.

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